Le paroxysme de la connerie


Quand on voit deux mots de la langue française faire l'objet de deux grossières fautes d’orthographe il faut comprendre que nous sommes plongés dans un bouillon de culture qui se compose de 99,99% d'abrutis.

Alors, devant ce constat, je comprends la démission du Pape: Comment éduquer de pareilles épaves ?

Seul Bélzébuth le peut, sans doute.

 

 


Aucun commentaire: