Duel Fillon Copé: Des QI de gallinacés



En cette fin novembre 2012, les médias nous abreuvent d'un bien triste feuilleton, qui corrobore l'appellation de "trisomic city" dont j'affuble parfois mon honorable pays natal...

Dans un ouvrage sur la psychologie des hommes politiques, Jean-Pierre Friedman, psychanalyste, écrivait que "le pouvoir est une maladie mentale" (Du pouvoir et des hommes, Michalon, 2002). La guerre actuelle à l'UMP en est une nouvelle illustration, déplore-t-il. "Nous ne sommes plus à l'époque du poison et des coups de poignard, mais on voit là que les ressorts sont les mêmes".../

Le peuple français assiste donc, impuissant (comme toujours), à un combat de coqs sans rime ni raison, qui n'apportera strictement rien à personne, mais qui prouvera (à toutes fins utiles), que la plupart des hommes politiques, s'ils ne sont pas des "malades mentaux", d'un point de vue clinique, sont au minimum de tristes imbéciles.

Et à la réflexion, si mon confrère Friedman a raison, du haut de ses savoirs en matière de psychologie, et sachant que nos "politiques" sont censés nous représenter, par le mandat électif que nous leur aurions confié, et qu'ils sont de ce fait notre quintessence identitaire et culturelle, il y a du souci à se faire, pour le proche avenir, quant à l'emploi du temps des psychiatres.


Age mental: 4 ans

Il existait jadis une émission de télévision, en France, intitulée "l'école des fans", animée par un certain Jacques Martin.

Il s'agissait d'un divertissement familial mettant en scène de jeunes enfants, de 4 à 8 ans, environ, à qui l'animateur proposait de gentils challenges en rapport avec leur âge.

Les parents montaient sur le plateau, de touchants dialogues s'instauraient avec les petits...

En fin d'émission, il s'agissait de désigner le "vainqueur" du concours du jour...

Les enfants étaient "notés", comme des postulants à un titre.

La phase rituelle que prononçait alors Jacques Martin me reste dans l'oreille: "Tout le monde a gagné"

Il s'agissait certes de divertir les petits, et non de les agresser dans une absurde notion de compétition.

Aujourd'hui, entre un certain Fillon et autre Copé, je me retrouve à l'école des fans:

Chacun déclarant "j'ai gagné"

Age mental 4 ans, vous dis-je






















Nuisibles...

Je n'ai jamais osé penser que mes lecteurs puissent me nuire...


Pauvre France

Le président des analphabètes, sans doute...


La culture avance, en France

Le chiffre quatre, indiquant une quantité supérieure à l'unité, doit s'écrire au pluriel, ai-je cru comprendre. D'où le "s" final.

Sans doute devons nous écrire "deuxs", cinqs, sixs, septs, huits, neufs, etc.

Il faudra se faire à la grammaire du 21e...


Quant aux deux "hommes" présentés au féminin, dans le mot "décédées", j'avoue humblement ignorer par quel miracle ils ont pu accéder à cet attribut trans sexuel.



Fotil réformé l'ortografe francèze ?






le radar décrypté