La France du Soviet suprême



Un peu d'humour, sur ce sujet plutôt dramatique...
(il est dit dans la Bible "les premiers seront les derniers")

 
Après la taxe sur les logements inoccupés, et la possible réquisition autoritaire des mêmes, voici la ponction directe sur les comptes bancaires, à la seule appréciation des autorités, sans notion d'endettement.

En d'autres termes, nos biens et notre argent ne sont plus "nôtres" mais tombent dans le domaine public.

Une supposition: Je reçois de mes parents, en légitime héritage, un appartement, que je n'occupe pas, et que je ne loue pas, mais qui me sert de garde meubles, dirons nous.

Ce cas de figure, pour l'Administration fera classer le bien "inoccupé" puisqu'il ne sera le domicile de personne, bien que je devrai en payer l'impôt foncier, et quand même une taxe dite d'habitation, dans le mesure où le local n'est pas vide, donc réputé viable.

Si nous pensions, jusqu'ici, que le cas que je décris constitue un usage des plus normaux d'un bien immobilier, laissé à la libre appréciation d'un propriétaire, il va falloir se réactualiser.

En effet, d'après certaines dispositions légales récentes, dans certaines agglomérations, et sous certaines conditions, Big Brother peut nous taxer au motif qu'un local n'est pas habité, et, mieux encore, il peut le réquisitionner pour y loger qui bon lui semble, de sa seule autorité.

Mais ce n'est pas tout: Si nous pensions, jusqu'ici, que l'usage de l'argent déposé sur le compte bancaire d'un particulier était réservé à lui seul, il va falloir changer d'avis: Big Brother, s'il le décide, non content de vous taxer votre studio, ou d'en confier l'usage au premier venu, sans que vous ayez rien à dire, pourra prélever sur vos économies telle "taxe" qu'il jugera bon, histoire de renflouer ses propres finances à vos frais.

Le droit de propriété est donc aboli, dans la mesure où les biens et l'argent des particuliers peuvent être saisis ad nutum par l'autorité dite publique.

Faudra-t-il élaborer un remake de 1789, ou instaurer une bonne fois la République soviétique de France ?

On peut le croire. (Du moins la première suggestion)

Du Français, ou du Chinois...



On peut estimer que dans quelque temps, il ne sera plus nécessaire d'écrire en Français, ni dans aucune langue latine, même plus l'Anglais...

En effet, les pictogrammes s'installent de toutes parts et chaque jour davantage...

Il faut croire qu'un système d'idéogrammes paraît plus adapté à la culture populaire de notre époque.

Victor Hugo et Balzac vont se retourner dans leurs tombes.
 

Nouveau: On n'est pas seul sur la route



Mon permis de conduire a plus de 50 ans, et j'ai tous mes points, merci. J'ai parcouru quelque 2 millions de kilomètres au volant, sur toutes les toutes d'Europe, et même d'Amérique.

Au cours de ces pérégrinations quelque peu édifiantes, j'ai bien rarement eu l'impression d'être le seul automobiliste empruntant telle ou telle voie...

Peut-être, à certains moments, vers les trois heures du matin, dans le fond de la Transylvanie, ou sur l'autoroute A7 me suis-je trouvé sans compagnie, dans un sens, ou dans l'autre, mais ce fut bien peut fréquent.

En conséquence, "partager la route", pour moi, est un non sens de première grandeur, surtout s'agissant de la France.

L'on n'y rencontre pas de convois agricoles, ni d'hippomobiles, ni d'hélicoptères en pièces détachées, comme je l'ai vécu ailleurs, mais c'est bien la saga des touristes, des camions et des caravanes...

En conséquence l'exhortation à "partager" la route me paraît procéder des modes de conditionnement public de notre joyeuse époque. Le collectivisme forcené doit entrer dans les consciences...

Big brother n'est pas sur le chemin du manque d'arguments.

l'Église et l'argent

Les finances du Vatican seraient elles faibles ?

 

Je cherche le trou de la sécu

Difficile, hein ?

Suivons ce lien

Viande de boeuf, de cheval, et autre...

Se méfier des contrefaçons.

Le Pape, lui, a eu le courage de démissionner



Je passe rarement le "papier" d'un confrère, mais celui-ci, franchement, j'eusse pu le rédiger moi-même, tant il illustre mes opinions.

On voit venir le résultat du laxisme, du gauchisme forcené, de la démagogie galopante, de l'électoralisme forcené, du soviétisme friqué et autres folies criminelles qui minent la France depuis au moins trente ans.

Continuez, les gars, on va en voir de belles ! 


Goodyear : Montebourg, démission !


Publié le 23/02/2013


Quoi que l'on pense de la polémique entre Arnaud Montebourg et le PDG de Titan, il faut se rendre à l’évidence : la France n’a vraiment plus la cote.


Par Philippe Robert.


 
S’agissant de l’usine Goodyear sise à Amiens-Nord, et quoi qu’on puisse penser du style employé par Maurice M. Taylor dans sa lettre comminatoire adressée à Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, il faut se rendre à l’évidence : la France n’a vraiment plus la cote.


En effet, il ressort de cette passe d’armes que l’action des syndicats, et tout spécialement la CGT communiste qui ne cesse depuis plus de 60 ans de pourrir l’esprit des travailleurs français en particulier et du peuple français en général, est devenue un repoussoir pour les investisseurs internationaux.


"Les syndicats n’existent que sous la perfusion de l’État, des collectivités locales et des entreprises, puisque les cotisations ne représentent que 3 à 4% de leurs budgets. Si bien que Taylor, en dépit d’un cynisme agaçant, a raison quand il souligne que la CGT politisée (...) ne tient que grâce au gouvernement français" (La CGT est-elle un “syndicat fou ?”).


À partir de 1981, tous nos Présidents de la République et à fortiori tous leurs gouvernements successifs n’ont finalement été capables, selon la forte expression de Christian Saint-Etienne, que d’entretenir à grands frais une médiocrité consentie que notre pays, désormais, s’apprête à payer au prix fort.


La chute de la France dans la “médiocrité consentie” est l’effet d’un grand renfermement sur soi qui procède du refus d’analyser le monde et de surfer sur les grandes vagues qui modèlent l’environnement économique, social et politique. En France on ne surfe pas ! On disserte sur la légitimité des grandes vagues au regard des préjugés d’une pensée devenue archaïque. Noyade garantie.

C’est exactement ce que vient aussi de nous rappeler sans mâcher ses mots ni vaines fioritures le PDG de Titan, Maurice M. Taylor Jr, dans sa missive (explosive) adressée au ministre Arnaud Montebourg. Mais rien n’y fait, le coq gaulois à la sauce socialiste campe fièrement sur ses ergots.


Ainsi, la réponse indignée du berger (français), jouant les vierges effarouchées, à la bergère (américaine) montrant ses muscles ne s’est-elle pas fait attendre : "Vos propos aussi extrémistes qu’insultants témoignent d’une ignorance parfaite de ce qu’est notre pays (...) Soyez assuré de pouvoir compter sur moi pour faire surveiller (...) avec un zèle redoublé vos pneus d’importation”. Jamais David ne terrassera Goliath s’il se contente de l’abreuver de vaines invectives...


Arnaud Montebourg se trouve désormais pris entre deux feux : d’un côté la puissante Amérique lui fait la leçon, certes de manière cavalière, mais à qui la faute ? De l’autre, l’imprudent ministre doit rendre des comptes à ceux qu’il a contribué à enfumer. À sa place, j’aurais déjà démissionné.