En cette fin novembre 2012, les médias nous abreuvent d'un bien triste feuilleton, qui corrobore l'appellation de "trisomic city" dont j'affuble parfois mon honorable pays natal...
Dans un ouvrage sur la psychologie des hommes politiques, Jean-Pierre Friedman, psychanalyste, écrivait que "le pouvoir est une maladie mentale" (Du pouvoir et des hommes, Michalon, 2002). La guerre actuelle à l'UMP en est une nouvelle illustration, déplore-t-il. "Nous ne sommes plus à l'époque du poison et des coups de poignard, mais on voit là que les ressorts sont les mêmes".../
Le peuple français assiste donc, impuissant (comme toujours), à un combat de coqs sans rime ni raison, qui n'apportera strictement rien à personne, mais qui prouvera (à toutes fins utiles), que la plupart des hommes politiques, s'ils ne sont pas des "malades mentaux", d'un point de vue clinique, sont au minimum de tristes imbéciles.
Et à la réflexion, si mon confrère Friedman a raison, du haut de ses savoirs en matière de psychologie, et sachant que nos "politiques" sont censés nous représenter, par le mandat électif que nous leur aurions confié, et qu'ils sont de ce fait notre quintessence identitaire et culturelle, il y a du souci à se faire, pour le proche avenir, quant à l'emploi du temps des psychiatres.
Et à la réflexion, si mon confrère Friedman a raison, du haut de ses savoirs en matière de psychologie, et sachant que nos "politiques" sont censés nous représenter, par le mandat électif que nous leur aurions confié, et qu'ils sont de ce fait notre quintessence identitaire et culturelle, il y a du souci à se faire, pour le proche avenir, quant à l'emploi du temps des psychiatres.
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